Forum des Libertins

Alors voilà cette fois est la bonne j'y suis......

Espérons que quelques dames nous feront l'honneur de leur présence et que la soirée se passe dans une bonne humeur générale

A plus !!!!

Après avoir profité pleinement de ce beau soleil estival je serai de retour au Mykonos en fin d'après-midi histoire de soigner mon coup de soleil....Et de me reposer d'une randonnée magnifique mais épuisante en forêt noire ce week-end.

Chose promise chose due, ces dames auront droit à une petite surprise rafraichissante de ma part.

A toute à l'heure.

CHRISTEL,

Juste quelques mots pour te remercier pour le travail que tu effectues derrière le bar. Tu y as ta place et je pense que beaucoup d'entre-nous confirmeront mes propos.
Efficiente dans le travail, toujours bien lunée, aimable et souriante bien que soumise parfois aux désirs particuliers de clients qui ne le sont pas moins.....
Toujours est-il que je tenais à te rendre hommage pour les bons moments que je passe au Mykonos quand tu es présente.
En même temps il est important que Nath et Pat sachent ( c'est certainement déjà le cas...) qu'ils sont remplacés par une personne fiable.

Jean

m'accompagna un temps ici au mykonos et qui, ne viendra plus...

Et deux par deux, sans compter nos morts,
Qu'on laisse derrière des ébauches fanées, des secrets d'alcôves
Et trois par trois, à nos cœurs essoufflés,
Des secousses se forment, on réfléchit plus tard, maintenant il faut rêver.

Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille-toi.

Et deux par deux, on avale nos mots.
C'est dur d'oublier ce que l'on connait et ce qui imprègne nos peaux.
Et trois par trois, nos cœurs d'là partis.
On joue au couteau et on peut partager le même lit.

Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille-to

Et deux par deux, on avale nos mots.
C'est dur d'oublier ce que l'on a connu, qui a imprégné nos peaux
Et trois par trois, nos cœurs d'là partis.
On joue au couteau et on peut partager le même lit.