Vous n'êtes pas identifié(e).
Marie,
Tu nous scotch avec ton poème sur le mykonos. Alors là rien à dire. Rien qu'en lisant je suis déjà transporté là bas.
Titi
Faut demander les mykobosse s'ils ont envit de mettre une nouvelle soirée "quart d'heure françàis" au programme d'ici les prochaines semaines.
Titi
Un inspecteur d'académie se rend en une classe. Il interroge un élève:
- Qui a cassé le vase de Soissons ?
L'élève pâli, hésite, puis bredouille en un sanglot :
- C'est pas moi ...
- Comment ? Vous ne savez pas qui ...
- Monsieur, puisqu'il vous dit que ce n'est pas lui, dit le professeur
- Comment ? Comment ? Vous aussi, vous ne savez pas qui ...
- Ma foi non, répond le professeur, évasif
L'inspecteur fait alors un rapport au directeur de l'établissement.
- Voyez l'état de l'enseignement, les élèves et les enseignants ne savent pas qui a cassé le vase de Soissons !
Le directeur, ennuyé, se demande :
- Mais qui donc a cassé ce vase ?
Il adresse une requête au recteur d'académie.
Ce dernier, recevant la requête l'examine entre deux dossiers urgents et s'exclame
- Mais quelle histoire pour un vase ! Qu'on le remplace !
Il est 8h00 le matin. Une R5 des ponts et chaussées s'arrête sur une petite route de campagne suivie de peu par une fourgonnette. 5 types descendent du fourgon et l'un d'eux s'adresse au chef dans la R5 :
- Chef, on a oublié de prendre les pelles !!!
- Vous faites chier les gars... Attendez je téléphone au dépôt !
Le chef prend son combiné dans la voiture.
- Allô? Marcel ? Dis donc il te reste des pelles au dépôt ?
- Oui, répond le gars à l'autre bout du fil, il t'en faut combien ?
Alors le chef se retourne vers ceux du fourgon.
- Combien vous êtes ?
- Cinq, répondent les autres.
- Cinq, reprend le chef au téléphone.
- OK, lui dit le gars du dépôt, tu les auras cet après-midi.
- OK salut ! , et il raccroche.
Le chef se tourne à nouveau vers les gars :
- C'est bon, on aura cinq pelles cet après-midi !
- Ben chef ?, qu'est ce qu'on fait en attendant ?
- Je sais pas moi, appuyez vous sur autre chose !!!!
Une femme va consulter son médecin généraliste. Elle se plaint que son mari ait développé son penchant envers la sodomie, et ça linquiète... Le docteur lui demande:
- ça vous inquiète que votre mari vous sodomise, mais est-ce que vous aimez ça?
- Oui docteur
- Est-ce que ça vous fait mal?
- Non pas trop
- Dans ce cas, il ny a aucun inconvénient à pratiquer la sodomie, mais attention toutefois à ne pas tomber enceinte!
La femme est stupéfaite:
- Mais on ne peut pas tomber enceinte en se faisant sodomiser?!!
Et le docteur lui répond:
- Bien sûr que si! Et doù croyez-vous que les avocats sortent?
Un homme d'affaires dit à de ses amis que sa compagnie recherche un nouveau comptable. Son ami demande:
- Mais... vous n'avez pas déjà recruté un nouveau comptable il y a quelques semaines?
Et l'homme d'affaire répond:
- Si, et d'ailleurs, c'est celui-là qu'on recherche
Je suis ingénieur système, je sais je ne devrais pas men vanter.
A la fin d'un entretien d'embauche, le responsable des Ressources Humaines demande à un jeune ingenieur, frais émoulu des Arts & Metiers :
- "Et vous aviez pensé à quel salaire de départ ?
Le jeune répond :
- Dans les environs de 100 000 € par an, négociable en fonction des avantages annexes.
- Bien, dit le responsable RH, que diriez-vous alors d'un contrat avec 5 semaines de conges payés, 14 jours fériés en sus dans l'année, frais médicaux et dentaires pris en charge par la compagnie, fonds de retraite vous donnant à 50 ans une retraite equivalente à 85% de votre salaire de l'époque, plus une voiture de fonction de type 406 changée tous les deux ans ?
Le jeune homme se dresse sur son siège ébahi :
- Whoaaaa ! Vous êtes sérieux ?
- Non, répond l'autre. Mais c'est vous qui avez commence !
Oui nous aussi ou t'adore, et tu le sais bien, cette grande famille qu'est le Mykonos. Dailleurs souvent :
on s'adore les uns et les autres
les uns dans les autres
les uns sans les autres
les uns sur les autres
Ton Titi
Tout de suite ou demain ou samedi ou dimanche il ya tellement de jours et de nuits.
Thierry
le(s)quel(s) ? Hummm.
Comment appelle-t-on un homme qui a les deux yeux dans le même trou ? Un gynécologue.
Qu'est ce qui est bleu et qui fait "poutpout" ? - Un poutpout bleu.
Quelle est la différence entre une cacahuète et un clitoris ? Aucune. Ce sont tous les deux des amuse-gueules.
Pourquoi les jeunes filles baissent les yeux quand on leur fait une déclaration d'amour? Pour vérifier que c'est bien vrai !
Qu'est ce qui est invisible et qui sent la carotte? Un pet de lapin
Pourquoi les chats n'aiment pas l'eau ? Parce dans l'eau, minet râle.
A quoi sait-on qu'on est atteint de la maladie de la vache folle ?
- C'est quand on commence à tuer les mouches avec sa queue !
Quelle différence y a t'il entre un rouquin et un requin ? Le rouquin a les cheveux du père et le requin les dents de la mère.
Quelle est la différence entre une moto et une femme ? La moto c'est une suzuki et la femme c'est une suskiki
Quelle est la différence entre un miroir et la connerie ? Ils reflètent tous les deux l'image de l'être humain.
Pourquoi a-t-on accorde le droit de vote aux femmes?
- Pour que les voix des hommes maries comptent double.
Quelle est l'expression préférée d'un vampire ? Bon sang !!!!
Pourquoi les flamands roses lèvent-ils une patte quand ils dorment ?
Parce que s'ils levaient les deux, ils se casseraient la gueule.
Quel est le médicament qui pourrait remplacer le Viagra ? Le vinaigre, car ça conserve l'oignon et ça durcit les cornichons !
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Alors là, tu nous bouches un coin. Que c'est beau. Je viens de le lire au moins une dizaine de fois.
Bises ma puce
Titi
Un mari à sa femme:
- Et si on essayait une nouvelle position ce soir?
La femme:
- Ouais, je suis 100 % d'accord. Toi, tu vas te mettre devant la planche à repasser et moi j'allumerai la télé, je vais me coucher sur le sofa et je vais péter aux 5 minutes...
Quelle est la plus petite prison du monde ?
Le cerveau d´un homme, il n´y a qu´une seule cellule.
Deux jeunes hommes discutent entre eux :
- Tu sais que l'homme descend du singe et le singe descend de l'arbre ?
- Bah! vu ta gueule tu as dut louper les branches !
Savez vous pourquoi le chien est le meilleur ami de l'homme ?
Qui se ressemble s'assemble.
- Un couple très huppé cherche des moyens de faire quelques économies dans le budget familial.
- Marie-Ange, si vous appreniez à faire la cuisine, nous pourrions renvoyer la cuisinière, non ?
- Mon cher, sachez que si vous appreniez a faire l'amour, nous pourrions aussi renvoyer le chauffeur !
Les hommes, c'est comme du cristal. - C'est beau mais ça casse vite!
- Quelle est la différence entre les toilettes et les hommes?
Il y a des moments de la vie ou l'on peut désirer très fort trouver des toilettes.
Quel sont les types de femme que les hommes recherchent ? Simple : celles qui couchent.
- Un homme c'est un peu comme une tempête de neige.
Tu ne sais pas quand il arrive, tu ne sais pas combien de centimètres tu auras, et tu ne sais pas combien de temps ça durera.
Quels sont les trois mensonges typiques des hommes?
1) Mon chéquier est dans mon cartable là...
2) Mais oui je t'aime...
3) Mais non je n'éjaculerais pas dans ta bouche !
C'est trois hommes qui discutent. Le premier a 20 ans, le deuxième en a 40 et le troisième a 60 ans.
Le premier dit: " Moi je bande quand je veux ! "
Le deuxième dit: " Moi je bande quand je peux ! "
Le troisième dit: " Bande de chanceux ! "
Quelle est la différence entre un mari et un p'tit ami ?
- 20 minutes.
B R A V O
Mon Délice des Anges, il ne tient qu'à toi de goûter davantage à mes doigts de masseur, ma langue experte et j'en passe et des meilleures... et réciproquement. Hummm.
Ton titi dévoué
COPILLAGE !!!
vu sur http://boobasstick.skynetblogs.be/
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Il y a de ça environ trois semaines ma copine m'avait demandé de lui laisser l'appartement à elle seule pour qu'elle puisse recevoir à dîner une de ses copines qui vient de se faire lâcher par son copain. Elle veut lui préparer un bon repas et la consoler. J'avais ordre de ne rentrer d'une soirée entre copains qu'après minuit. Étant claqué (le boulot ne manque pas), j'avais avisé ma copine que je me pointerais très certainement peu après minuit. Ce que je fis.
Alors, une fois entrée dans l'appartement, je trouve les filles en grande conversation autour des rapports sexuels entre hommes et femmes. Je salue les deux filles et je me joins un peu à la conversation. J'apprends alors que Josée (la copine de Christine) se fait larguer par les mecs parce que sexuellement ça ne marche pas trop fort pour elle. Entre autres, elle dit ne pas aimer pratiquer le sexe oral car cette pratique la dégoûte (autant le cunni que la fellation). Je suis tout étonné elle dit qu'il y a autre chose dans la vie que le sexe. Je lui dis certainement mais que tout de même la sexualité dans un couple est très importante et que chacun des partenaires doit se sentir bien dans la relation. Elle ne nie pas et me demande si je resterais avec une fille qui ne veut pas faire l'amour oral. Je lui dis que j'adore cette pratique (la faire et la recevoir) et elle se met aussitôt à pleurer à chaudes larmes. Ma Christine me regarde et me fais signe de m'éloigner. C'est alors que je décide d'aller prendre une douche. Je me dis que le vin ingurgité durant la soirée n'aide pas Josée à surmonter ses émotions. Bref je m'éclipse dans la salle de bain pour un petit moment.
Lorsque je sors, les filles sont assises sur le canapé et j'entends ma Christine dire à Josée : « Mais tu devrais réessayer au moins une fois. Ce n'est pas parce que la première fois fut désastreuse que ça sera toujours comme ça. » Et Josée lui répond qu'elle a bien tenté à quelques reprises (au moins trois fois) de tailler une pipe à un homme mais elle perd l'estime d'elle même à s'abaisser à une telle pratique. Christine lui répond que de donner du plaisir à son homme n'est pas humiliant et qu'elle adore m'entendre gémir lorsqu'elle me suce. C'est alors que Christine dit à Josée dans un même souffle : « Voudrais-tu que je te montre comment je fais avec mon Pierre? » Sur ce je sursaute et Josée s'écrie : « Mais tu déconnes ?! » Et Christine répond : « non je suis très sérieuse. Est-ce que tu accepterais de te livrer à l'exercice Pierre? me demande Christine. J'hésite un peu et je réponds que oui, si Josée est consentante. Sur ce Christine s'approche de moi et se met à genou devant le sofa où je suis assis. Elle défait mon peignoir et commence à me sucer la queue tout doucement. Je commence à bander et Christine se tourne vers son amie et lui dit : « tu veux essayer ? J'adore quand il devient dur dans ma bouche. En plus, il vient tout juste de prendre une douche et il goûte merveilleusement bon ». Sur ce, à ma grande surprise Josée s'est approchée et a regardé Christine sucer ma queue pendant quelques instants, pour lui dire ensuite : « tu as l'air d'une vraie salope quand tu fais cela ». Ce à quoi Christine a rétorqué que oui elle peu avoir l'air salope mais que, si ça excite son homme, ça ne regarde qu'elle. Sur ce, Josée m'a regardé dans les yeux et m'a demandé si j'aimais ça. Sans hésiter je lui ai répondu que j'adorais.
C'est alors que Christine a proposé à Josée de me sucer. Je n'en croyais pas mes oreilles. Deux belles femmes devant moi et qui vont me faire une fellation chacune à leur tour... Et je fus d'autant plus étonnée que Josée accepte et s'approche de moi. Sur les conseils de Christine, elle saisit ma queue et la met dans sa bouche timidement. Elle ne bougeait que très peu et Christine me demanda de la guider. Ce que je fis en lui disant de faire des va-et-vient avec sa bouche et de ne pas oublier de rétracter mon prépuce avec ses lèvres en les serrant bien autour de ma queue.
Je dois avouer que la situation étant très très très excitante! De temps à autre, Christine me suçait pour faire la démonstration à Josée. Soudainement je dû dire aux filles d'arrêter car j'allais jouir... « Et pourquoi pas? » me dit Christine qui était en train de dénuder sa poitrine. Elle montra alors à Josée comment frotter ma queue contre ses seins. C'est alors que Josée dénuda également sa poitrine pour me gratifier de la même caresse. Josée et Christine avaient toutes les deux des seins d'enfer. Josée prenait de l'assurance sur ma queue... et maintenant les filles s'en donnaient à cœur joie à tour de rôle. Deux superbes femmes aux seins nus devant moi qui me sucent alternativement, c'était le paradis sur terre. J'avisais donc les deux filles que si elles continuaient j'allais jouir et, à ma grande surprise, Josée voulue que je vienne dans sa bouche. C'est alors qu'elle avala tout et qu'elle lécha même ma queue et du sperme répandu sur sa main. Elle venait de se dévergonder et elle en était fort heureuse. Mais ensuite, pour les remercier, je dus leur bouffer la chatte à toutes les deux après qu'elles eurent pris leur douche. Le manège dura si longtemps que je bandais de nouveau pour le plus grand plaisir des filles... Elles ne se touchèrent mutuellement que les seins mais j'ai bien vu que cela leur plaisait. Bref, ce fut une soirée mémorable et que je souhaiterais revivre
C'est un routier qui est tranquillement à son volant quand il aperçoit un nain jaune au bord de la route qui lui fait signe. Il s'arrête et va voir le nain qui lui dit :
- J'ai vraiment très faim, si tu me donnes à manger, je t'encule.
Le routier est plutôt surpris, et lui répond qu'il n'en a aucune envie, que c'est pas son truc et qu'il n'y a pas besoin de ça pour lui donner à manger, et il lui file un sandwich. Peu de temps après avoir repris sa route, il aperçoit un nain rouge sur le bord de la route qui lui fait signe. Il s'arrête et va voir le nain qui lui dit :
- J'ai vraiment très soif, si tu me donnes à boire je te suce.
Le routier commence à s'ennerver, vocifère qu'il n'a pas envie de se faire sucer par un nain rouge, lui file une canette de bière et s'en va. Il continue sa route et quelques kilomètres plus loin, il voit un nain bleu sur le bord de la route qui lui fait signe. Il descend excédé et dit au nain bleu :
- OUAIS ! Je sais ! si je te file à manger tu m'encules et si je te file à boire tu me suces !
Et le nain lui répond :
- C'est ça, c'est ça, allez hop, papiers du véhicules et on va règler tout ça au poste !
Quelle est la différence entre un caleçon et une voiture de police ?
- Dans la voiture de police il y a 2 trous du cul.
Qu'est ce qui est long et dur pour un gendarme ?
- Sa 6ème primaire.
Cela se passe à un examem pour devenir policier, l'examinateur demande au candidat :
- Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ?
Pas de réponse.
- Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N
Pas de réponse.
- Ensuite, il y a la lettre A.
- Na, Na ..... Navaro ?
- Mais non NA ..NA... puis il y a une P
- NAP, NAP ..... Napoléon ?
- Oui, c'est bien cela. Vous avez droit à votre képi.
- Quel était le nom du grand dictateur allemand en 1940 ?
Pas de réponse.
- Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI
- E.T. ?
- Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines) ?
- Hitler ?
- Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.
- Qui a tué Jésus-Christ ?
- Ça, je n'en ai aucune idée.
- Ecoutez, lui dit l'examinateur, rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.
Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s'est passé l'examen ?
- Très bien, dit-il, j'ai répondu à 2 questions, les doigts dans le nez et on m'a déjà donné ma première enquête.
Chef, chef ! Il y a eu un vol cette nuit au supermarché ! On a volé 2 000 cartouches de cigarettes et 1 500 laitues !
- Bien, et vous avez des soupçons ?
- Ben, on recherche un lapin qui tousse !
Quelle est la différence entre un baril de lessive et un poste de police ?
Dans le baril de lessive on est sûr d'avoir au moins un agent actif
Comment appelle-t-on du sperme de policier ?
- Du blanc de poulet.
Clicplaisir,
En lisant tes quelques lignes, il me semble reconaître un peu et même beaucoup des similitudes à la mienne et de celles de bien d'autres personnes que je cotoie. Ton aisance à trouver les mots justes, les tournures et le contenu du texte font de ce récit une oeuvre. Maintenant pour toutes celles et ceux qui liront ils ne pourrons que dire pourquoi ne l'avons nous pas fait avant.
Titi
COPILLAGE !!!
vu sur www.missglad.com/communaute/histoires-erotiques/?page=17
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Ma femme et moi etions en train de faire un calin quand je me mis a lui raconter une histoire mettant en scene deux lesbiennes. L'effet ne se fit pas attendre et je sentit tres rapidement le liquide d'amour de ma femme couler le long de mon penis. Je lui demaande si elle aimerait faire l'amour avec une autre femme et elle me repond pourquoi pas en guise de oui. C'est alors que je lui demande avec qui elle aimerait le faire et je lui deballe la liste de ses copines qui me font terriblement bander. S'enchaine une suite de oui et de non avec des oui plus appuyé et pour la derniere personne je me fais moins directe, je lui dit que cette femme a cinq ans de plus qu'elle, qu'elle a des seins legeremnt plus petit et que de visage elle lui ressemble beaucoup. C'est alors que je sens son va et viens sur mon sexe plus rapide, je lui demande si elle a deviné de qui je voulais parler, elle me repondit oui c'est ta belle-soeur petit coquin. je lui emande si elle ne m'en veux pas de lui avoir soumis cette proposition. Elle se mis a m'embrasse a plein bouche puis me dit non elle me demanda aussi si elle m'exitait. Je répondis doucement qu'elle était belle et que j'avais deja vu son sexe. Ma femme surprise me demanda dans qu'elles conditions. je répondis nous étions invités chez eux a manger elle était assise en face de moi et pour prendre le verre sur la table basse elle decroisa les jammbes s'est alors que j'ai regardais entre ses cuisse et que j'ai vu a travers son collant sa toison.
Ma femme me demande de decrir la pilosité je répondis rasée au niveau des levres et une bande plutot large sur le dessus. Elle me dit tu as bandé je dit oui elle me traita de coquin. Je lui avoua meme que je m'etais masturbé en pensant à sa soeur. Elle me redit que j'étais un vilain coquin, c'est alors que je lui ai demandé si ellle s'etait deja caressé en pensant à elle et j'obtint un oui bien sur mon amour.
Ma chère Yotsuba,
Tu sais ce qui nous anime tout les deux, nos joies, nos tristesses, nos pleurs, et surtout notre complicité. Et là en lisant ton poème je ne peux que pleurer devant ces écrits. Mes larmes tombent sur le clavier mais qu'importe. Sont elles de tristesses, de mélancolies, de rages, je ne sais pas vraiment. Ou plutôt si. Toi également tu connais ce qui m'anime.
Voilà que ton coeur parle et c'est magnifique. Bravo.
Ton titi qui t'adore.
Nous allons voir ce que nous allons voir !...
Thierry
Pas de honte à avoir Eclipse, il est super. Bien sur on peut toujours mieux faire mais en le modelant les prochaines fois
Thierry
J'etais encore puceau et je passais pas mal de temps a me branler devant les revues porno, n'ayant encore jamais goute aux plaisirs de la chair avec une vraie femme. Cet apres midi la, je me trouvais seul (on etait en ete) sur mon lit, et je fantasmais sur une fille de ma derniere revue, en me caressant lentement. La fenetre etait ouverte et j,entendis soudain un gemissement dehors.
De ma chambre, on voyait le jardin des voisins (un couple dans la cinquantaine) et en jetant un oeil je vis que la voisine, une femme au corps ferme et mince, prenait le soleil, mais aussi son pied, en pensant que personne ne la regardait, allongee sur une serviette, au milieu de la pelouse.
Inutile de vous dire que cela me mit le feu a la queue et que je me mis a me branler plus fort, en l'epiant discretement (enfin je croyais etre discret). Elle ouvrit les yeux (la jouissance les lui avait fait fermer) et me vit, jouant les voyeurs. Mon coeur cessa soudain de battre. Je m,attendais a une colere terrible, a des problemes avec les voisins, et tout, et tout.
Loin de s'enerver, elle eut un sourire coquin et me fit un signe de la main, ecartant encore plus les cuisses. Elle me faisait signe de venir la rejoindre.....
Intimide mais surexcite, je descendis les escaliers (apres avoir mis un short qui cachait tres mal mon erection) et je sonnais a sa porte. Elle m'ouvrit, en peignoir entrouvert, nue dessous, et me saisit par l'epaule pour me faire entrer.
Pas un mot, juste un viol immediat. Elle se jeta sur ma queue, grognant et gemissant de desir, se frottant la chatte sur ma jambe tout en me pompant a fond.
Inutile de vous dire que ma queue vierge ne resista pas longtemps a ce traitement. Je voulus le lui dire mais elle se mit a sucer encore plus fort, et quand j'explosai, elle avala toute la semence que je deversais dans sa bouche experte. Je hurlais de plaisir!!!
UNe fois rassasiee de sperme, elle m'amena a sa chambre ou elle m'apprit a lecher une femme. Selon elle, j'etais un bon eleve. Sentir sa chatte se contracter de plaisir sous mes doigts et ma langue me fit presque autant plaisir qu'a elle. Je bandai de nouveau. Satisfaite de me voir de nouveau d'attaque, elle me plaqua sur le lit et me branla a petits coups de poignet rapides, puis me frotta le gland sur son clito detrempe. UNe fois satisfaite de mon erection, elle se la rentra dans la chatte. Ma premiere penetration.... Brulante et humide, sa chatte se contractait sur ma queue. Je planais completement, seule mon ejaculation recente m'empechant de jouir de nouveau immediatement. Pleine d'experience, elle me chevaucha a sa guise, accelerant de temps en temps, ralentissant quand elle em sentait pret a jouir. Cela dura un 20 minutes de folie. L'orgasme nous atteignit tous les 2 en meme temps, avec des cris et des mouvements de plus en plus saccades. Elle aussi perdait le controle... Je crus que je n'allais jamais cesser de gicler dans cette chatte de feu.
Nous avons recommence de temps en temps cet ete la, et elle fut mon educatrice de sexe. Et quelle educatrice.....
Excellent les jeux de mots Eclipse et Bilesdeux. Trop fort.
Thierry
Alors là Volcanique tu nous épates. Pour une première quelle belle ébauche. Oui vraiment. D'ici quelques semaines en enrichisant ton blog tu vas faire des envieux lol. Non je plaisante. Fait ce qu'il te plaît ton inspiration voilà tout. De toute façon l'essentiel c'est qu'il te plaise.
1 titi admirateur
Un viticulteur cabotin appelle l'INAO (l'Institut National des Appelations d'Origine) et fait un scandale au téléphone...
" Vous comprenez, c'est inadmissible : ma parcelle de vigne est en bordure de l'appelation Saint Estèphe. Juste un chemin les sépare.
C'est la même terre, le même soleil, la même expositionet pourtant moi je n'ai pas le droit de produire de Saint Estèphe...
Mons voisin vend ses bouteilles 150,00 €et je ne trouve pas d'acheteur pour les miennes si je dépasse 15,00 € "
Excédé, l'agent de l'INAO fini par lui dire :
vous êtes marié ?
Oui fait le viticulteur un peu surpris...
Eh bien ce soir, reprend l'expert, mettez un doigt dans le cul de votre femme et un autre dans sa chatte.
Gouttez et vous verrez : c'est juste à côté et pourtant çà n'a pas du tout le même goût !
Un rabbin, un pasteur protestant et un curé sont en train de discuter à propos de pigeons qui ont élu domicile dans le clocher. Chacun propose des solutions pour s'en débarrasser. Le rabbin dit :
- Il faut les enfumer... Ou bien essayer de les effrayer comme le font les agriculteurs dans les champs avec des bazookas.
Le pasteur protestant dit :
- Moi j'essaierai plutôt le blé empoisonné.
Alors le curé les regarde tous les deux d'un air triste et leur dit :
- Vraiment, je pense qu'il y a une manière beaucoup plus facile de se débarrasser de ces pigeons : Il n'y a qu'à les baptiser, leur faire faire leur première communion et après on ne les reverra plus.
Quatre mères de prêtres discutent des mérites de leurs fils.
- Le mien, dit la première, est curé. Quand il entre quelque part, on lui dit : "Bonjour Excellence".
- Mon fils, dit la deuxième, est évêque. Quand il entre dans une pièce, on lui dit : "Bonjour Monseigneur".
- Hé ben mon fils, continue la suivante, est cardinal. Quand il arrive on lui dit :"Bonjour Eminence".
La quatrième femme réfléchit un moment et finit pas dire :
- Mon fils mesure 2 mètres et pèse 135 kilos. Quand il entre quelque part, les gens disent : - "Oh, mon Dieu !!!"
C'est dans un petit village un mec va se confesser; il entre dans le confessionnal et le prêtre lui dit : - Dis-moi Pierre, puisqu'on est dans le secret de la confession, dis-moi qui est-ce qui volé mes poules ?
- Je n'entend pas mon père.
- Dis-moi qui est-ce qui volé mes poules ?
- Je suis desolé mon père, mais j'entend pas.
- Dis-moi qui est-ce qui volé mes poules ?
- Je suis desolé mon père mais j'entend toujours pas. À ce moment le prêtre sort et dit :
- Viens, on change de place. Il changent de place l'un et l'autre et Pierre dit au curé :
- Dites-moi mon père, qui est-ce qui baise ma femme pendant que je suis au champ ?
- Tu as raison Jean on entend rien !
Mon père, j'ai commis le pêché de chair.
- Avec qui mon fils ?
- Je ne peux pas vous le dire.
- Je vais vous aider mon fils. Avec la bouchère ? avec l'épicière ou la soubrette du notaire ?
- Je ne peux rien vous dire, mon père. Je pars. En sortant, il rencontre son copain :
- D'où viens-tu ?
- De me confesser. Je n'ai pas eu l'absolution, mais j'ai eu trois bonnes adresses !
Le curé croise une de ses ouailles dans la rue :
- Et comment se fait-il que je ne vous vois plus jamais à l'église ? Le gars :
- C'est qu'il y a bien trop d'hypocrites qui vont à la messe. Le curé :
- Oh... Et bien si c'est ça, ne t'en fais pas : Il y aura toujours de la place pour un de plus.
COPILLAGE
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L'homme gara sa Fiat dans la rue, juste en face l'entrée de l'immeuble, en se disant que pour une fois, il avait de la chance. D'habitude, ces places-là étaient toujours occupées lorsqu'il rentrait tard du boulot. Il traversa la chaussée rapidement, essayant d'éviter au maximum les gouttes de pluies qui crépitaient sur l'asphalte depuis une vingtaine de minutes. Il pénétra à l'intérieur, puis ouvrit la petite porte de la boite aux lettres marquée au nom d'Eduardo Deslilas. Il n'y avait rien. Probablement que son épouse Carolina, qui était de repos depuis la veille, avait déjà récupéré les éventuelles lettres et autres prospectus publicitaires. Puis il grimpa deux à deux les degrés de l'escalier jusqu'au second étage. Une minute plus tard, il pénétrais enfin dans le salon où l'attendait une agréable surprise.
Sur la table rectangulaire, recouverte par une splendide nappe provençale, brûlaient six bougies blanches dans deux magnifiques chandeliers argentés. Carolina, vêtue d'une superbe robe longue bleue turquoise moulant ses formes délicieuses, finissait de mettre le couvert. Ses boucles d'oreilles, son rouge à lèvres, son collier et son bracelet dorés rehaussaient sa beauté d'un éclat sans pareil. Elle avait vraiment mis les petits plats dans les grands pour séduire son chéri. Il se souvint alors brusquement que c'était son anniversaire.
Le repas lui-même fut tout simplement divin. Les prunelles des deux tourtereaux scintillaient d'un amour incommensurable tandis qu'ils dégustaient des mets raffinés dignes des banquets de l'Olympe. Au cours du dessert, tendant une jambe, la charmante jeune femme appuya doucement du bout du pied sur les parties intimes de son amant. L'effet fut immédiat mais elle lui fit comprendre qu'il fallait être un peu patient. Après le dîner, ils débarrassèrent la table, puis firent de la place devant le canapé au pied duquel s'alanguissait un tapis vaste et moelleux. Sur l'invitation de sa gracieuse dulcinée, Eduardo s'assit et observa, les yeux emplis d'une formidable passion pour sa tendre et voluptueuse amante.
Celle-ci plaça une chaise à deux mètres face à lui, enclencha une musique d'ambiance particulièrement suggestive et entama une danse lascive d'une rare sensualité, le regard particulièrement aguicheur. Ses mains, tandis qu'elle bougeait tout son être en cadence, caressaient son corps admirable avec une lenteur calculée. En un rien de temps, son partenaire sentit son sexe qui s'agitait follement dans son habit de coton. Carolina, tout en se mouvant, se mit à dégrafer doucement sa robe qui tomba bientôt à ses pieds dénudés. Le soutien-gorge et la culotte suivirent tout à tour le même chemin dans la pénombre environnante. L'excitation du garçon augmentait au fur et à mesure que son épouse se déhanchait, se touchait les fesses, le ventre, le buste, s'asseyait sur la chaise en écartant ses longues jambes fines et en faisant tournoyer autour de son joli visage sa magnifique chevelure sombre comme la nuit. Elle se mit à lancer un regard enfiévré à son mari tout en se passant avec sensualité la langue sur ses lèvres vermeilles. N'en pouvant plus, l'homme se dévêtit promptement, libérant par la même un pénis tout en émoi. Devant lui, sa désirable femme se massait les lolos d'une main tandis que l'autre frictionnait l'humide région située au sud de son triangle soyeux. Son plaisir était évident et ses pupilles brûlaient d'un feu vif extraordinaire.
Se rendant compte de l'état d'excitation dans lequel elle avait mis son amoureux, et elle-même étant au comble de la félicité, Carolina se dressa fièrement, s'avança vers l'homme d'une démarche féline puis s'agenouilla devant lui, entre ses jambes écartées. Elle titilla alors le gland du bout de la langue, puis prit la verge en érection entre ses seins et se mit à faire de ravissants va-et-vient tout en plongeant son regard torride dans celui d'Eduardo. Puis elle se leva et monta sur le canapé en présentant son oasis mystérieuse devant le visage de son partenaire. Celui-ci ne se fit pas prier : sa langue s'immisça avec entrain au creux de la savoureuse grotte ainsi présentée. Elle soupira d'aise tandis qu'il lui léchait le clitoris tout en lui pelotant la croupe.
Finalement, elle s'accroupit sur lui, guidant de sa main experte la tringle toute raidie de l'homme au cœur de sa caverne aux mille délices. Enlacés, ils ne formaient plus qu'un. Leur peau devint moite, puis se couvrit d'une fine pellicule de sueur tandis qu'ils remuaient en cadence en laissant échapper des soupirs extatiques et des gémissement de bonheur. Puis la jeune femme, au bout d'un moment, se releva et partit sur le tapis en présentant son arrière-train à son conjoint. Elle savait que la levrette était sa position préférée. Il la rejoignit immédiatement et la pénétra avec une fougue renouvelée. La tenant fermement par les hanches, il se mit à lui donner de formidables coups de boutoir, de plus en plus vite. Agrippant la chaise comme un naufragé son radeau, elle se mit à pousser de petits cris et des phrases obscènes qui excitaient encore plus son partenaire : « oooh ouiiii, mon amour ! Continue comme ça ! Aaaaah ! Ouiii, ouiiiiii ! Aaaaah ! Mmmmm ! Surtout t'arrête pas ! Mmmmmm ! C'est délicieux ! Ooooh ouiii ! Encore ! Aaaah ! Plus fort ! Aaaaah ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii ! Aaaah ! Ooooh ouaiiiiis, bête de sexe ! Aaaaah ! Mmmmmm ! Ca vient, ça vient ! Ooooh ouiiii, mon amour ! J'en peux plus ! Aaaaah ! Ooooh mon dieu ! C'est trop bon ! Mmmmmm ! Ouiii ! Ooooh ouiiii, rejoins-moi, mon amour ! Ooooh ouiiiii, aaaaah ! Là, ouiiii ! Maintenant ! Aaaaaaahhh ! Je le sens, ouiiiiiii ! Oooh je jouiiis, je jouiiiiiis ! Aaaaaah ! Aaaaah ! Aaaah ouiiiiii ! Mmmmmmmmmm »
A cet instant précis, Eduardo Deslilas se retira in extremis et eut un orgasme formidable. Le liquide crémeux s'étala sur le dos de le jeune femme qui se tourna à demi en lâchant : « joyeux anniversaire, mon cœur adoré ! »
Ah bon on parle d'infusion de satan. Non non pas de çà au paradis.
Thierry