Forum des Libertins

My Awakening

Je m’appelle Alice, j’ai 23 ans, et je sais l’effet que je fais. Mes cheveux blonds cascadent en vagues soyeuses sur mes épaules, encadrant un visage qu’on dit délicat, avec des lèvres pulpeuses et des yeux bleus qui laissent deviner une malice que je ne cache pas toujours. Mon corps ? Il attire les regards, je ne vais pas le nier. Mes seins, ronds et fermes, tendent le tissu de mes tops ajustés. Mon ventre plat, sculpté par des heures de yoga, mène à des hanches qui ondulent juste ce qu’il faut pour troubler. Et puis, il y a mon cul, petit, rebondi, celui que Tibo, mon mec, ne peut s’empêcher de saisir à pleines mains. Ma chatte, lisse et rose, et mon petit anus délicat… disons que je prends soin de moi, partout, et que je sens le pouvoir que ça me donne.

Tibo et moi, ça fait trois ans qu’on est ensemble. Trois ans de nuits enfiévrées, de rires partagés, de disputes qui finissent souvent sur l’oreiller. Mais dernièrement, notre couple vacille, comme un bateau pris dans une mer agitée. On s’aime, c’est certain, mais la routine s’est glissée entre nous, et les silences s’étirent, lourds, pesants.

La Proposition Audacieuse
C’était un vendredi, on était vautrés sur notre canapé, une bouteille de vin rouge à moitié vide entre nous. Tibo, avec ses cheveux bruns en bataille et ce regard intense qui me fait encore frissonner, me fixait un peu trop longtemps. Il avait ce sourire en coin, celui qu’il sort quand il veut me dire quelque chose mais qu’il cherche ses mots. « Alice, » il a murmuré, sa voix un peu rauque, « t’as déjà pensé à… pimenter les choses ? » J’ai haussé un sourcil, intriguée, un peu méfiante. « Pimenter comment ? » Il a pris une gorgée de vin, ses doigts serrant le verre comme pour se donner du courage. Puis il a lâché : « Te voir avec un autre mec. »

Mon cœur a fait un bond. J’ai cru qu’il plaisantait, mais ses yeux ne riaient pas. Il était sérieux. Il m’a expliqué que l’idée le hantait depuis des semaines, que l’imaginer me regarder prendre du plaisir avec un autre l’excitait à en perdre la tête. J’étais sonnée, partagée entre le choc et une chaleur étrange qui montait dans mon ventre. Moi, Alice, la fille qu’on voit comme sage – du moins en surface – envisager ça ? Pourtant, plus il parlait, plus une curiosité s’éveillait en moi, comme une flamme timide mais insistante. Et si on osait ?

Les Premiers Pas vers l’Inconnu
Les semaines qui ont suivi ont été un tourbillon de discussions, de rires nerveux, de doutes et de fantasmes partagés. On a fini par se décider, le cœur battant, à franchir le pas. Tibo a trouvé un mec sur une appli, un certain Julien. Grand, musclé, avec une mâchoire carrée et des yeux sombres qui semblaient déjà me déshabiller sur sa photo de profil. On a fixé un rendez-vous dans un bar branché du centre-ville, pour « faire connaissance ». J’avais choisi une robe noire moulante, celle qui épouse chaque courbe de mon corps, mettant en valeur mes seins et laissant deviner la cambrure de mon cul. En me regardant dans le miroir avant de partir, j’ai senti une bouffée d’excitation mêlée d’appréhension. Ce soir-là, tout pouvait basculer.

Une Rencontre Chargée de Tension
Dans le bar, l’ambiance était feutrée, les lumières tamisées projetant des ombres douces sur les murs. Tibo était à mes côtés, sa main posée sur ma cuisse, possessive, mais je sentais son pouls rapide sous ses doigts. Julien est arrivé, encore plus impressionnant que sur les photos. Il mesurait bien 1m90, avec des épaules larges et une démarche assurée. Son sourire, à la fois charmeur et prédateur, m’a fait frissonner. Il s’est assis en face de nous, et dès que ses yeux se sont posés sur moi, j’ai senti une chaleur envahir mon bas-ventre. Il me regardait comme si j’étais un dessert qu’il mourait d’envie de goûter.

La conversation a démarré doucement, des banalités sur le vin, la musique qui jouait en fond. Mais il y avait une tension, une électricité dans l’air. Chaque fois que Julien parlait, sa voix grave vibrait dans ma poitrine, et ses regards glissaient sur moi, s’attardant sur mes lèvres, mon décolleté, mes jambes croisées. Tibo, lui, était étrangement silencieux, mais sa main serrait ma cuisse un peu plus fort à chaque fois que Julien me complimentait. « T’as une énergie incroyable, Alice, » a dit Julien à un moment, ses yeux plantés dans les miens. J’ai souri, un peu troublée, sentant mes joues s’échauffer. Sous la table, Tibo a glissé ses doigts plus haut, frôlant l’intérieur de ma cuisse, là où ma peau est si sensible. J’ai retenu un soupir, mon corps déjà en alerte.

L’alcool aidant, la conversation a dérivé, devenant plus suggestive. Julien a raconté une anecdote sur une soirée un peu folle, laissant entendre qu’il n’était pas du genre à se contenter de peu. Tibo a ri, mais je voyais dans ses yeux une lueur que je connaissais bien : celle de l’excitation mêlée de jalousie. À un moment, Julien s’est penché vers moi, son genou effleurant le mien sous la table. « Et toi, Alice, t’es du genre à prendre des risques ? » Sa question était anodine en surface, mais son ton, son regard… tout criait autre chose. J’ai senti mon pouls s’accélérer, ma chatte se contracter légèrement sous l’effet de ses mots. « Parfois, » j’ai répondu, ma voix plus rauque que je ne l’aurais voulu, en lançant un regard à Tibo. Il a souri, mais ses doigts ont pressé ma cuisse, comme pour me dire : Continue.

Le Retour à l’Appartement
Le moment où Tibo a proposé qu’on rentre chez nous, tous les trois, est arrivé comme une vague. J’avais le ventre noué, un mélange d’excitation et de peur. Dans la voiture, l’ambiance était lourde, presque irrespirable. Julien était à l’arrière, et je sentais son regard dans mon dos, comme une caresse invisible. Tibo conduisait, une main sur le volant, l’autre sur ma jambe, remontant lentement sous ma robe. J’étais trempée, et je savais qu’il le sentait. À un feu rouge, il s’est tourné vers moi, ses yeux brillants. « T’es prête ? » il a murmuré, et j’ai hoché la tête, incapable de parler, mon cœur battant à tout rompre.

La Montée du Désir
Chez nous, la tension était à son comble. Tibo s’est installé sur le canapé, un verre de whisky à la main, ses yeux ne me quittant pas. Julien, lui, s’est approché de moi, son corps imposant me dominant. « T’es sûre ? » il a demandé, sa voix grave faisant vibrer l’air entre nous. J’ai acquiescé, mais intérieurement, j’étais un tourbillon d’émotions. J’avais peur – peur de ce que ça allait changer, peur de me perdre dans ce moment. Mais il y avait aussi ce désir brut, cette envie de me laisser aller, de voir jusqu’où ça pouvait m’emmener. Mon corps était en feu, ma peau hypersensible, anticipant chaque toucher, chaque regard.

Julien a effleuré ma joue, ses doigts glissant lentement vers mon cou, puis sur l’échancrure de ma robe. Mon souffle s’est coupé. Tibo, sur le canapé, était immobile, mais je voyais sa poitrine se soulever plus vite, ses yeux brûlants de désir. Julien a tiré doucement sur ma robe, la faisant glisser sur mes épaules, révélant ma peau nue. Mon soutif en dentelle noire est tombé, dévoilant mes seins ronds, pleins, leurs mamelons rose pâle déjà durcis par l’excitation. Ma peau frémissait sous l’air frais, et je sentais leurs regards comme une caresse brûlante. Julien m’a soulevée, me posant sur la table de la salle à manger, et a ôté mon string, me laissant totalement nue, exposée.

Corps Offert, Désir Dévoilé
Mes cuisses écartées sur le bord de la table, je sentais l’air frais caresser ma chatte, lisse et soignée, ses lèvres roses légèrement entrouvertes, luisantes d’une humidité qui trahissait mon désir. Mon clitoris, petit bourgeon sensible, pulsait doucement, comme s’il appelait les doigts ou la langue de Julien. Ma vulve était parfaitement épilée, douce comme de la soie, et je savais que sa couleur rose tendre, presque innocente, contrastait avec la chaleur qui m’envahissait. Mes seins, dressés fièrement, semblaient implorer qu’on les touche, leurs courbes pleines captant la lumière tamisée de la pièce. Mon ventre plat se contractait légèrement à chaque respiration, et mon petit cul rebondi reposait à peine sur la table, accentuant l’arc de mon corps offert.

Julien s’est reculé un instant, ses yeux sombres dévorant chaque détail de mon corps. Puis il a défait son jean, laissant tomber le tissu pour révéler sa queue. Mon souffle s’est coupé. Elle était énorme, bien plus imposante que celle de Tibo. Longue, épaisse, avec des veines saillantes qui pulsaient sous la peau tendue, son gland large et luisant semblait prêt à me posséder. Elle devait faire au moins 20 centimètres, avec une circonférence qui me faisait presque douter de pouvoir l’accueillir. Comparée à la queue de Tibo – plus modeste, fine, efficace mais sans cette présence écrasante – celle de Julien était intimidante, presque animale. Et pourtant, à la vue de ce monstre, une vague de désir m’a submergée. J’ai senti ma chatte se contracter, mon clitoris pulser plus fort, comme si mon corps criait son envie de l’accueillir, de le sentir me remplir. Tibo était mon amour, son sexe familier et rassurant, mais là, face à cette bête, je voulais autre chose. Je voulais être dépassée, envahie, dominée.

Voilà pour la première partie. Qu'en pensez-vous ? Dois-je continuer ? Impatient de lire vos retours ! Biz les Kokinous et Kokinettes